De nombreuses professions gravitent autour du métier d’aide-soignante et des évolutions de carrière existent. Découvrez également, les différentes instances de formation, le financement et le mode de calcul de votre futur salaire.
Des établissements publics ou privés forment les futures aides-soignantes. Avant de décrocher le concours, il est important de définir son projet professionnel auprès du bon interlocuteur.
Avec 38 hôpitaux, l’AP-HP est un lieu de soin et de formation pour les professionnels de santé.
Elle organise des concours des aides-soignantes et assure l’enseignement des élèves.
Présent sur toute la France, cet institut de formation privé et payant propose à la fois des préparations présentielles pour le concours et des formations aux candidates admises.
C’est une insititution référente pour les professions paramédicales.
L’ARS a un rôle de santé publique (prévention, offre de soin) et de formation des métiers de santé comme l’aide-soignante.
Ces instituts de formation continue pour adultes dispensent des formations d’aides-soignantes pour les personnes au chômage ou les salariés en reconversion professionnelle.
Acteur majeur dans la formation professionnelle, il permet à un grand nombre de personnes de bénéficier d’un financement pour leur formation d’aide-soignante. Retrouvez la carte des Conseils régionaux de France.
C’est l’organisme de référence pour les demandeurs d'emploi. Les conseillers aident pour définir un projet professionnel et décrocher un financement.
La Mission Locale aide les jeunes de moins de 26 ans à trouver un emploi et une orientation professionnelle. Il peut aider à trouver un contrat d’apprentissage en alternance de la formation d’aide-soignante.
Le Fongécif est un organisme agréé de formation continue qui permet aux salariés de bénéficier d’une formation qu’il finance avec l’employeur.
Cet organisme paritaire collecteur est agréé au titre du congé individuel de formation (CIF). L’Opacif permet de financier la formation en partie et maintenir la rémunération de la salariée, durant sa reprise d’études.
En fonction du diplôme d’Etat ou du titre professionnel, il est possible de bénéficier de passerelles qui donnent droit à une dispense partielle ou totale d’épreuves.
Si la candidate est admise, elle est dispensée de certains modules d’enseignement ainsi que des stages correspondants à ces unités.
Il faut posséder le diplôme d’Etat correspondant à l’une de ses professions :
Suite à l’obtention de son diplôme d’Etat d’aide-soignante (DEAS), la professionnelle peut peut poursuivre ses études et se spécialiser dans le secteur des personnes, en passant de formation d’assistante en gérontologie ou d’un des cursus possibles pour devenir animatrice en gérontologie.
Au bout de 3 années d’expérience, l’aide-soignante peut passer le concours d’infirmière (IDE).
En fonction du secteur, la rémunération ne se calcule pas sur les mêmes bases. Bien qu’il n’y ait quasiment aucune différence de salaire en début de carrière, le montant varie si la personne est salariée ou fonctionnaire.
La grille indiciaire permet une évolution de la rémunération au cours de la carrière. Retrouvez la grille indiciaire de la fonction publique hospitalière, selon les différents grades.
La fonction publique territoriale bénéficie d’une grille indiciaire qui lui est propre. Il n’y a pas de grandes différences de salaires.
L’aide-soignante est classée dans la catégorie des auxiliaires de soin.
En fonction du secteur d’activité, l’aide-soignante est rattachée à une convention collective. Les 3 principales pour le métier d’aide-soignante sont :
Chaque convention collective donne un coefficient, qui est un nombre de points. Ce dernier doit être multiplié à la valeur du point, qui peut être révisé chaque année ou gelé selon la politique économique.
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